Parmi ceux que j’aimais Il y avait toi Celui qui, sans jamais se glorifier Était de ceux dont on reconnaissait la voix Celle de ton canard sculpté Dans le bois de ta simplicité Derrière ton âme, loin de moi Depuis ton départ je ne vit que dans l’espoir
À chaque St-Valentin, ton cœur en bois Explose comme si s’était le mien Alors, tu t’exprimais À travers nos incertitudes, en disant: « On prend-ti un p’tit coup d’rouge»
Derrière ces années d’amitiés Contre tout cela Loin de devoir t’oublier Il n’y a que l’espace Cet espace qui ne fut rien d’autre que ta présence
Au-delà d’hier, C’est à travers le temps, Que tu résisteras à ma mémoire Au-delà de l’amitié Qu’il y a-t-il à droite À gauche Au-dessus, au-dessous Il n’y a que la tendresse