Cousine de l’amour
Elle apparait toujours en douceur
Elle refuse la peur
Et l’éloigne pour toujours
Rare on la refuse
Elle-même comme une muse
Nous apaise de nos maux
Et donne droit à de nouveaux jeux
Souvent elle nous console pour le mieux
Avec plein de douceur dans ses mots
La tendresse est bienvenue partout
Mais pour l’enfant qui en reçoit souvent
Mais c’est l’adulte qui s’y refuse le plus
Pourtant, dans son for intérieur
Il en désire tellement plus!
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